Histoire d'Eric ,
chapitre 4




    " Moi , voûtée, Agnès sursauta, non, non, ce n'est pas vrai ! Elle se redresse brusquement.
    "Mais si je te jure, maman, affirma Cathy, viens voir, Julie, appela t elle.
Julie se leva rapidement et s'approcha de Cathy pendant que celle ci attrapait les bras d'Agnès.
Tremblante, Agnès se releva prestement pour échapper a l'emprise de la jeune fille mais , Julie arrivant a ce moment la
saisit ses coudes et les serra l'un contre l'autre avec une force inattendue.
    Cathy s'approcha d'Agnès et lui murmura doucement a l'oreille:
    "tu es réellement voûtée tu sais, tu te rend bien compte de ce qu'il faut faire pour corriger ca ...
    Agnès se mordit la lèvre.
    " Non, s'il vous plaît , implora t elle, laissez moi.
    " je suis désolée, maman, mais c'est important , il faut absolument corriger ton dos, répondit Cathy en tournant autour d'elle
Elle sembla réfléchir un moment, laissant Agnès entre les mains de Julie .
    " voyons , fit Cathy, comment faire...ah oui je crois avoir trouve la solution...elle s'approcha d'Agnès et fit signe a Julie de s'éloigner, celle ci s'en retourna tranquillement s'asseoir dans un fauteuil, les regardant avec un petit sourire
    " pourquoi te rassois tu , lui lança Cathy , il est plutôt temps d'aller se coucher. puis se retournant vers Agnès:
    " Pour Erica aussi , il est grand temps d'aller se coucher, tu ne vas pas la laisser sur sa chaise toute la nuit, va donc t'occuper d'elle.
    Agnès soupira, la perspective d'être attachée s'éloignait et on lui demandait au contraire de détacher son fils. elle s'approcha d'Eric et rapidement défit de ses mains les sangles qui le retenaient prisonnier a la chaise  , elle se pencha et fit de même pour ses chevilles, enfin elle détacha délicatement la boucle de son bâillon, lui laissant la bouche encore engourdie. Eric n'avait plus que ses menottes aux poignets.
    "tu l'emmène se coucher , maman, s'il te plaît , demanda Cathy
    "oui, oui au contraire, assura Agnès, et elle prit son fils par le bras.
   "" mais pas comme ca , enfin, lança Cathy d'une voix forte, tu oublies ses bracelets aux chevilles, et s'approchant rapidement , elle posa sur la table a cote d'elle la paire de bracelets.
    A ces mots Agnès stoppa net, indécise, elle qui avait espéré être enfin tranquille, voila qu'il lui fallait a nouveau attacher son fils, ceci dit, pensa t'elle, c'est juste pour aller dans sa chambre, ca ne sera pas long.. elle se pencha donc , attrapa les bracelets métalliques et les referma sur les chevilles d'Eric. Elle se releva et passa le bras sous celui son fils pour le guider.
    "mais enfin, maman , tu n'as pas fini, et son bâillon ? fit Cathy, elle va se mettre toute seule ?
    "Cathy, supplia Agnès, est ce bien nécessaire, son visage implorant tourné vers elle.
    "mais tu sais bien que oui, rétorqua la jeune fille , dépêche toi , il est tard , tout le monde a envie d'aller dormir.
Agnès soupira encore et pressée d'en finir se pencha vers le sac, en ressortit le bâillon. Eric aurait voulu protester mais il espérait bien lui aussi passer une nuit tranquille, aussi se laissa t il faire en pensant qu'il en serait bientôt débarrassé.
    Agnès prit son fils par le bras et ensemble sortirent de la cuisine, les deux filles les regardèrent en souriant gentiment quand ils passèrent  devant elles. ils se dirigèrent vers l'escalier , mais au moment ou Agnès réfléchissait a la façon de faire monter son fils dans sa chambre , elle entendit la voix de Cathy :
    " mais ou vas tu , maman, la chambre d'Erica n'est pas la haut.
    Agnès se retourna vers la jeune fille.
    "mais enfin, il lui faut bien une chambre ,s'inquiéta Agnès.
    Julie s'approcha d'elle.
    "la chambre d'Erica est prête, je te rassure, c'est moi même qui lui ai fait son lit, viens avec moi, nous allons l'emmener a sa nouvelle chambre. et prenant l'autre bras d'Eric, elle lui fit faire demi tour et le dirigea vers le fond du couloir . A petits pas ils arrivèrent devant une porte blanche.
    " mais, c'est la porte du placard a balai, fit Agnès.
    Cathy se mit a rire:
    "un placard a balai, tu plaisantes, maman, avec tout le mal que s'est donné Julie ! Et elle ouvrit la porte.
    Agnès resta sidérée, ce qui était son placard a balai  était transformé en une sorte de chambre de jeune fille, avec des habits accrochés a des porte manteaux , quelques posters romantiques au mur, un bouquet de fleurs sur une tablette,  au fond une toute petite table de maquillage surmontée d'un miroir. au milieu du placard , posé a même le sol un simple matelas, recouvert d'un drap et d'une couette fleurie faisait office de lit.
    Agnès se retourna vers les deux filles :
    "enfin, Eric ne va quand même pas dormir ici!"
    "mais si bien sur, assura Cathy, voyons que reproches tu a cette chambre, ca n'est pas joli, peu être ?
    "si ,admit Agnès, elle dut reconnaître qu'avec peu de choses, Julie avait bien travaillé.
    " alors tu vois, Erica sera très bien ici...mais dépêchons nous j'ai sommeil...mets Erica au lit, maman.
Agnès se dit qu'elle réfléchirait a tout ca demain, elle avait plutôt envie d'oublier tous ses soucis le temps d'une nuit, aussi fit elle entrer Eric dans sa nouvelle chambre. Elle allait le laisser la quand elle entendit Cathy :
    "maman ,il faut la preparer pour la nuit , tu ne vas pas la laisser comme ca !
    " la preparer ? s'étonna Agnès , mais de quelle manière , pourquoi ?
    Cathy et julie se regardèrent , d'un air navré.
    "maman , repris Cathy, on ne t' a pas assez dit qu'Erica était toute voûtée , qu'il faut continuer son traitement ? allez , tiens voici le sac de sangles ,attache le bien pour la nuit.
    " regarde , lui fit julie en désignant des anneaux fixes au mur , tu as de quoi le maintenir par quatre points ou tu pourras passer les cadenas des sangles.
    Les deux filles croisèrent les bras , et appuyées chacune d'un cote de la porte , attendirent qu'Agnès commence a ligoter Eric
    Agnès était a nouveau toute désemparée, elle se retourna vers elles:
    " mais je ne sais pas quoi faire, avoua t elle, je...
    "je vais t'aider, l'encouragea Cathy ,défais lui ses bracelets de chevilles deja qu'il s'allonge, et ses menottes aussi.
Agnès , soulagée attrapa les clés qu'on lui tendit et fut heureuse de délivrer Eric.
    "maintenant , prend une sangle , continua Cathy quand Agnès eut tout enlevé, attache lui les mains dans le dos.
Agnès osa un regard ver les deux filles imperturbables, terriblement hesitante, elle n'avais pas la force de refuser, elle se dit que si elle attachait son fils, au moins elle les laisseraient tranquille , elle et lui. Elle le fit donc s'allonger, prit  une sangles et attacha les mains de son fils,  trop ankylosé pour l'en empêcher.
    " bien , maman, l'encouragea Cathy, maintenant une plus longue aux épaules.
Agnès obéît, privée tout a coup de volonté,pressée d'en finir.
    "une autre aux chevilles, une autre encore aux genoux, fais vite maman , il est tard.
Agnès ,soupirant lourdement passa les sangles aux chevilles de son fils, d'abord dans la boucle, puis passa le cadenas.
    " attends avant de refermer, conseilla Cathy. Change lui son bâillon deja.
Agnès fut heureuse de lui enlever cette grosse boule qui lui maintenait la bouche a moitié ouverte.
    " prend un foulard dans le sac, dicta Cathy, fais un noeud au milieu.
Sans trop réfléchir , Agnès obéît,  sortant un long foulard elle y fit un noeud au milieu et sans même attendre qu'on le lui dise
 le passa sur la bouche de son fils.
    "bien maman , l'encouragea Cathy, prend en un autre, mais sans y faire de noeud cette fois ci, et fais pareil.
Agnès fouilla dans le sac, elle y vit plusieurs foulards et sans trop savoir pourquoi choisit celui qu'elle trouvait le plus joli, elle le plia  de façon a en faire une bande large de plusieurs centimètres. Se retournant vers Eric, elle le passa par dessus le premier foulard, veillant a bien couvrir le bas du visage, puis elle le serra dans la nuque.
    " bien maman , la complimenta Agnès, il ne reste plus qu'a lui fixer ses sangles au mur, il doit y avoir des lanières de cuir avec des mousquetons dans le sac, regarde bien.
        Fouillant dans le sac, Agnès en sortit une a une quatre lanières munies a chaque bout d'une attache en métal.
    " tu les passe d'abord aux anneaux du mur , expliqua Cathy, puis, l'autre bout qui a une boucle, dans celles des poignets et des chevilles après tu refermes le cadenas et tu tends la lanière pour bien le bloquer.
Agnès, inquiète, osa une question.
    " mais...il ne va pas être a l'aise pour dormir cette nuit comme ca...
    "enfin , maman, crois tu qu'on pourrait faire ca si je n'étais pas sur que tout ira bien, arrête donc de t'inquiéter pour rien et fais moi confiance, un petit peu, comment peux tu imaginer que je lui veuille du mal, tu n'as pas honte?
    Agnès baissa la tète, elle ne trouvait rien à répondre a Cathy, c'est même elle qui se sentait en faute; elle se décida a resserrer les lanières : une lanière prise dans la sangle des chevilles était fixée derrière son dos, une autre partant des genoux était fixée face a lui , enfin les deux autre lanières étaient prises l'une dans la sangle des poignets et tirée en arrière et l'autre dans la sangle maintenant les épaules et tirée en avant. Eric était ainsi bloqué de toute part , couché sur le coté, incapable de se relever.
    Visiblement satisfaites du travail d'Agnès, les filles proposèrent d'aller enfin dormir. Celle ci vit avec gène la porte du placard se refermer sur Eric. Julie prit la clé et referma a double tour. Agnès jeta un dernier coup d'oeil désolé vers le placard avant de suivre les filles vers les chambres. Une fois seule dans sa chambre, elle se déshabilla rapidement, passa sa chemise  de nuit et se mit au lit en espérant  dormir sans trop de mal, perturbée par le fait de savoir son fils enfermé dans son placard.
    Quelques minutes plus tard , Cathy ouvrit la porte.
    " je suis venue te dire bonne nuit, maman. Cathy s'avançait vers elle souriante, elle portait une jolie nuisette en satin blanc bordée de dentelles et des mules a hauts talons . Agnès lui rendit son sourire , presque involontairement, son sourire était si beau qu'il la désarmait complètement.
    "bonne nuit Cathy, lui répondit elle donc , elle hésita a parler d'Eric mais se retint, elle avait finalement envie qu'on la laisse un peu tranquille.
    " c'est vrai qu'on a rien fait pour ton dos , j'y pense maintenant , réfléchit Cathy
    "mon dos ? s'inquiéta Agnès.
    "oui , on en a parle ce soir, rappelle toi, et sans attendre de réponse Cathy s'installa sur le lit a califourchon sur le corps d'Agnès, collée a son ventre.
    "Julie appela t elle d'un voix forte, maman a besoin de toi. Agnès fronça les sourcils. Julie arriva quelques instant après dans la chambre, un sac a la main.
    " moi je vous laisse fit elle , je suis fatiguée et elle se dirigea vers le couloir.
Cathy attrapa le sac et le posa devant elle, sur la poitrine d'Agnès, elle regarda a l'intérieur, puis fixa Agnès, semblant plongée dans une profonde réflexion. Agnès allait lui demander a quoi elle pensait quand elle sortit une grosse corde munie d'un noeud coulant a un bout et d'une boucle a l'autre , avant qu'elle ait pu réagir, elle saisit le bras gauche d'Agnès, y passa le noeud coulant et tirant sur son bras, se penchant sur le coté , elle passa la boucle au pied du lit.
    "mais Cathy... implora Agnès . elle tendit son bras droit pour tenter de défaire le noeud mais Cathy l'attrapa et sortant une deuxième corde la passa a son poignet ,s'appuyant de toutes ses forces sur le bras elle obligea Agnès a plaquer son bras contre le matelas et se penchant encore fixa l'autre bout de la corde au pied droit du lit.
    "mais Cathy , qu'as tu fait , murmura Agnès , impuissante , elle essaya de ramener ses poignets mais se rendit compte qu'elle était complètement immobilisée, bras écartés, attachée aux pieds du lit.
    "c'est pour ton dos , enfin , tu sais bien , on en a assez parlé , maman, ca va te faire le plus grand bien tu sais, en plus ca détend, tu vas voir. pendant qu'elle parlait  elle se retournait et, défaisant les draps, attrapa les chevilles d'Agnès, celle ci ne voyait plus que son dos et ne comprit pas ce qu'elle faisait pendant qu'elle lui serait les chevilles l'une contre l'autre. ce n'est que quand Cathy se releva qu'Agnès se rendit compte qu'elle avait les chevilles ligotées serrées, attachées au lit.
    "là, non.. , elle se décida a se plaindre plus énergiquement . elle ouvrit la bouche mais a peine avait elle prononcé un mot que Cathy lui saisissait le menton et attrapant dans la sac un rouleau de ruban adhésif lui en plaqua une longue bande sur la bouche. Agnès tenta d'ouvrir la bouche mais l'adhésif était si bien collé qu'elle ne put décoller ses lèvres. elle ne put que regarder Cathy , implorante , tout en gigotant dans ses liens.
    "le bâillon, maman, expliqua Cathy, c'est comme pour Erica, ca aide a garder la tète bien relevée.
A ce moment la , elle entendirent Julie taper contre la cloison qui les séparait:
    " je voudrais bien dormir ,se plaignit elle.
    " nous avons fini, lui répondît Cathy, puis se penchant vers Agnès, murmura :
    " je vais lui dire bonne nuit et je reviens , puis regardant fixement Agnès, ajouta, je vais te laisser juste deux minutes comme ca, tu veux bien ? Agnès acquiesça de la tète, elle vit Cathy sortir de la chambre, fermer la porte et entendit le bruit de la clé tournant dans la serrure. Cathy alla rejoindre Julie, Agnès l'entendit souhaiter une bonne nuit a son amie et avouer qu'elle même était morte de fatigue, puis elle l'entendit passer dans le couloir en baillant et rentrer dans ce qui était devenu sa chambre. Quelques instants plus tard ce fut le silence.
    Agnès se mit a gigoter dans ses liens ,elle tenta d'appeler mais son baillon l'empêchait d'émettre le moindre son , elle commença a s'inquiéter sérieusement, Cathy semblait l'avoir oubliée. Impuissante à se délivrer, elle se mit a se maudire de s'être laissée faire. Elle se mit  a éprouver un profond ressentiment vis a vis de Cathy, comment pouvait elle l'avoir oubliée ! Incapable de faire autre chose que de gigoter dans ses liens, elle ne trouvait pas le sommeil, ses pensées allaient de Cathy a Julie puis s'attardèrent sur Eric, c'est lui finalement qui était cause de tout, c'est lui qui avait ramené Cathy a la maison...C'etait bien fait pour lui si il était ligoté dans son placard maintenant! Mais pour elle, non c'était pas juste...Sans vraiment la consoler elle finit par se dire que cela ferait une bonne leçon a Eric. Elle finit par s'endormir , non sans se réveiller plusieurs fois dans la nuit, gênée par ses liens.
    Elle dormait pourtant quand Cathy entra dans sa chambre le lendemain matin et c'est en sentant son bâillon se décoller qu'elle ouvrit les yeux sur le visage souriant de Cathy.
    " et bien, s'exclama t elle, moi qui me reprochait de t'avoir oubliée hier soir , finalement, tu as bien dormi ! tu ne m'as même pas entendue entrer ! c'est que ca te fait du bien de dormir comme ca , on recommencera !
    " oh non, non , fit Agnès a peine le bâillon enlevé, j'ai eu du mal a dormir.
    "c'est que tu n'es pas habituée, répondit Cathy en lui défaisant ses liens. De toute façon, on n'a pas trop le temps de discuter ce matin, toi tu vas travailler, nous on va a la fac.
Agnès se détendit en l'entendant, Cathy parlait a nouveau comme une fille raisonnable, elle n'allait pas le lui reprocher, aussi se leva t elle rapidement même si ses bras restés tendus toute la nuit étaient un peu raides. Elle prit sa douche rapidement,  s'habilla et descendit a la cuisine ou Julie avait rejoint Cathy, les deux filles discutaient pendant que Cathy préparait un petit déjeuner copieux. Agnès fut presque touchée de voir la jeune fille si prévenante, s'enquérir de ce qu'elle voulait pour déjeuner, mettant la table devant elle. Tout a coup , elle se rendit compte qu'Eric n'était pas avec la, les filles ne semblaient pas s'en être aperçues plus qu'elle.
    " Et Eric, demanda t elle , il ne déjeune pas ?
    " qui ca , répliqua Julie, sans la regarder ?
    "euh.. Erica se décida à dire Agnès , bien que cela lui coûta.
    "ah oui tu as raison, répondit Julie, je vais voir ce qu'elle devient. Et elle s'en alla vers le placard ou Eric avait  passé la nuit.
Elle revint presque aussi vite qu'elle était partie.
    "Erica va bien , fit elle a Agnès, de toute façon, elle a le temps de se reposer.
    "mais s'inquiéta Agnès , il faut bien qu'il...elle aille a la fac avec vous !
    "pas la peine, corrigea Julie, nous suivons les mêmes cours, nous lui ferons rattraper ceux qu'elle ne suit pas.
Les filles s'assirent pour déjeuner et ne sachant quelle conduite adopter, Agnès les imita. Julie finit de dejeuner avant les autres et remontant chercher quelques affaires, elle partit la première.
    Agnès et Cathy remontèrent a leur tout dans leur chambre, finir de se preparer. Prête la première, Agnès attendit Cathy au pied de l'escalier, pensant a Eric dans son placard; il fallait quand meme le le faire sortir, songeait elle.
    Cathy descendit l'escalier a son tour, toute charmante et prenant Agnès par le bras , l'entraîna vers la porte d'entrée.
    " mais... Eric ? interrogea Agnès , on ne va pas le laisser comme ca ?
Cathy s'arrêta un instant, réfléchit.
    "tu crois ? fit elle, oh si... De toute façon c'est Julie qui a la cle, ca resout le problème, on verra ca ce soir .
et elle entraîna Agnès avec elle, toute embarrassée de laisser son fils ligoté dans son placard, mais après tout pensait elle , encore un peu fachée après lui , tout ca c'est de sa faute, ca lui fera une bonne leçon, ca lui apprendra !
 

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